a film by olivier boonjing

Saturday, August 15, 2009

Quiet Earth

Review of Olivier Boonjing's SOMEWHERE BETWEEN HERE AND NOW

It’s not often one ponders the space between here and now, but in this fascinating film it seems to be: the Here is Brussels, home to the action, and the Now is how the Here is perceived by a group of young and emotionally distraught travelers. Put another way, Somewhere Between Here And Now (SBHN) is a desperately empty place, full of solitary histories, no futures and bulging backpacks. Lonely Planet, indeed.

(...) Granted, not a scintillating outline of heavy action, but this is one of those auteur efforts that represents the vision of one clever guy – Olivier Boonjing – who wrote, directed, produced, shot and edited the movie. (...)

(...) No, Boonjing’s best claim to fame in this here and now is the brilliant cinematography. From the opening montage of verité Asian scenes to the formal architectural symmetries of Brussels, Boonjing offers up a dazzling array of visual delights – both by day and night – as he effortlessly tracks the obsessive movements of his young and restless characters in their vain searches for themselves. (...)

(...) SBHN is well cast, with the camera loving the sensual face of Lucie Debay, and Arieh Worthalter plays a very convincing loser, torn between the anonymity of the road and his attraction to this unstable blonde with the big packsack. (...)

(...) Somewhere Between Here And Now. Cool name, and a cool flick. Here has been around for a long time. Now’s the moment. Boonjing shows us that “somewhere between” is a mindscape that maps out your motivations. If you get the chance, take this journey.

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Friday, August 14, 2009

Cinergie

Objet flottant doucement identifié

(...) Modeste et simple, Somewhere between réussit peut-être à toucher et émouvoir parce qu’il assume clairement ses ambitions, son propos et ses fragilités. Peut-être aussi qu’il creuse, sans vouloir les résoudre, quelques-unes des questions qui hantent notre époque. (...)

(...) Si le film ne manque ni d’humour (des personnages croqués avec délices comme cet ex-chauffeur de taxi) ni d’inventivité (pas un seul champ contre-champ, ou presque), que ses comédiens sont beaux de tous leurs non-dits, et qu’ils éclairent la nuit du film d’une certaine innocence (Lucie Debay et Arieh Worthalter), que certains plans sont d’une grande justesse (ces trouées de lumière dans la nuit ou cette aube au matin près d’un canal), le film d’errance urbaine est désormais un genre à part entière depuis qu’un pan du cinéma américain des années 80 et quelques grands noms en ont fait leur marque de fabrique (Jarmush, Wenders…).

Là où Somewhere between here and now fait mouche, c’est qu’il évite justement, de trop se référer à ces grands noms sans pour autant ignorer leur héritage. (...)

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Fake Magazine

Brussels Film Festival 2009 - Le Palmares

(...) Deux réelles surprises ont également pris place lors du festival : SOMEWHERE BETWEEN HERE AND NOW et COUNTRY WEDDING. Le premier est un film belge sans budget réellement touchant et presque enivrant. Deux personnages errent dans Bruxelles sans réelle motivation et découvre une série de personnages anodins. Une réelle rencontre partagée. (...)

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Indymedia

Somewhere Between Here and Now: "Les grands espaces sont intérieurs"

(...) Le film de Olivier Boonjing pourrait être une invitation au voyage. Mais il n'est pas si certain que celui dont il nous parle soit géographique. Après tout, les grands espaces sont aussi intérieurs. Partir, comme le suggère le film, est souvent un chemin de fuite avec un dégré de conscience plus ou moins fort que ce que l'on cherche ne peut pas être ailleurs. (...)

(...) Filmé sans budget par un groupe de quatre amis passionnés "Somewhere between here and now" est un film d'une grande maturité esthétique et intellectuelle. Il est la preuve flagrante que l'argent ne peut et ne doit pas être le moteur de guerre d'une entreprise cinématographique. Espérons que travail d'Olivier Boonjing saura rassurer et inspirer les génies fauchés.

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La Libre

"Somewhere Between Here and Now", c’est beau Bruxelles la nuit

Un des coups de cœur du festival, signé par une équipe enthousiaste, emmenée par Olivier Boonjing et Olan Bowland.

(...) Rarement la ville, dans cette intimité noctambule, n’a paru si vivante, multiple et internationale. L’anglais qui finit par devenir langue vernaculaire des différentes communautés qui s’y croisent et y partagent le même amour d’un lieu où, "well, you know", les bus arrêtent de circuler à 1h du matin, mais où un trajet sur la ligne du 71 permet d’entendre toutes les langues d’Europe et d’Afrique. (...)

(...) Formellement, en dépit de son budget serré et de son tournage à l’arraché, le film présente une belle facture. Boonjing se révèle un cadreur inspiré, capable de saisir aussi bien l’instant magique entre deux comédiens que la poésie d’un bunker urbain. (...)

(...) Un coup de cœur, donc. Auquel on souhaite de rencontrer prochainement un plus large public.

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Le Soir

Le Brussels by night d’Olivier Boonjing

(...) Pour lui, Bruxelles est une ville de passage, où transitent bien des voyageurs. Mais, précise-t-il, «mon film parle du voyage en tant qu’état d’esprit. Il parle aussi de la notion de maison, qui est pour moi plus un sentiment qu’un endroit.»

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Variety

Brussels festival to open with 'Beds'

Fourteen European films to compete

(...) Belgian no-budget drama "Somewhere Between Here and Now" by Olivier Boonjing also makes its bow in competition. (...)

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Brussels Film Festival 2009

Photography by Guy Van Laere (www.guyvanlaere.com) and Camille Cooken. More pictures on Flickr

Brussels Film Festival 2009

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