Un des coups de cœur du festival, signé par une équipe enthousiaste, emmenée par Olivier Boonjing et Olan Bowland.
(...) Rarement la ville, dans cette intimité noctambule, n’a paru si vivante, multiple et internationale. L’anglais qui finit par devenir langue vernaculaire des différentes communautés qui s’y croisent et y partagent le même amour d’un lieu où, "well, you know", les bus arrêtent de circuler à 1h du matin, mais où un trajet sur la ligne du 71 permet d’entendre toutes les langues d’Europe et d’Afrique. (...)
(...) Formellement, en dépit de son budget serré et de son tournage à l’arraché, le film présente une belle facture. Boonjing se révèle un cadreur inspiré, capable de saisir aussi bien l’instant magique entre deux comédiens que la poésie d’un bunker urbain. (...)
(...) Formellement, en dépit de son budget serré et de son tournage à l’arraché, le film présente une belle facture. Boonjing se révèle un cadreur inspiré, capable de saisir aussi bien l’instant magique entre deux comédiens que la poésie d’un bunker urbain. (...)
(...) Un coup de cœur, donc. Auquel on souhaite de rencontrer prochainement un plus large public.
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